Chaque année, le dimanche le plus proche du 21 janvier, la Conférence Mennonite Mondiale invite ses 107 églises membres à s’unir dans une célébration du Dimanche de la Fraternité Mondiale.
Les responsables religieux et les représentant-es de la société civile de différents pays et de diverses Églises chrétiennes se sont réunis à Rome les 18 et 20 septembre pour débattre du besoin urgent de lutter contre la peur grandissante des personnes dites «étrangères».
Des personnes migrantes et réfugiées ont participé à la conférence et ont fait part de leur point de vue sur la manière dont les réponses politiques et sociales proposées ont d’une part, creusé les injustices ou de l’autre, leur ont donné espoir.
Le GAPN : faire de la place aux relations
C’est la pause-café à la rencontre du Conseil Général, des commissions et des réseaux de la Conférence Mennonite Mondiale (CMM) au Kenya, en avril 2018. Et c’est l’occasion pour Ricardo Esquivia, constructeur de paix et défenseurs des droits humains, de discuter avec une vieille amie de sa vision pour le Réseau Anabaptiste Mondial pour la Paix (GAPN) : construire un réseau qui soutienne les constructeurs de paix sur le terrain et qui communique avec la communauté mennonite au sens large.Lire la suite
A partir de 1921, la destruction des colonies connaît une seconde phase. Les mennonites sont victimes, à tous les niveaux, de la politique communiste qui culmine dans la Terreur stalinienne, entre 1936 et 1939 : déchristianisation, collectivisation des terres, campagnes contre les « koulaks » et contre la minorité nationale allemande.
Au sein du malheur, les mennonites qui survivent font différentes tentatives pour s’adapter à une situation dont ils ne savent comment elle évoluera. Plusieurs solidarités s’organisent, insuffisantes et parfois dangereuses.